Fauve, ton analogie avec les alliances entre pays est assez parlante, je trouve. C'est vrai qu'il faut regarder au-delà du buzz et voir qui s'engage concrètement.
En parlant de partenariats, j'ai lu récemment un rapport qui soulignait que les projets crypto qui démontrent une croissance de leurs partenariats de plus de 30% par trimestre ont une probabilité significativement plus élevée de surperformer le marché. Et là, on parle pas juste d'un logo sur un site web, mais de vraies collaborations qui apportent une valeur ajoutée réelle.
Ce qui me chiffonne un peu avec Polkadot, c'est que si on compare le nombre de projets qui s'y développent activement par rapport à d'autres plateformes comme Ethereum ou Solana, on est encore loin du compte. J'ai vu des chiffres qui montrent qu'Ethereum concentre environ 60% de l'activité des dApps, contre seulement 5-7% pour Polkadot. Bon, après, faut voir comment ça évolue, mais c'est un indicateur à surveiller.
Et puis, il y a la question de la "vitessed'adoption". J'ai l'impression que Polkadot a un peu de mal à passer le cap de la niche des "earlyadopters". Si on prend l'exemple de l'adoption des wallets crypto, les chiffres montrent que seulement 1 à 2% de la population mondiale utilise activement un wallet. Pour que Polkadot décolle vraiment, il faudrait que cette adoption s'accélère, et que Polkadot devienne plus accessible au grand public. Or, pour l'instant, je trouve que c'est encore un peu technique et compliqué pour le néophyte.
Bref, je reste positive sur le potentiel de Polkadot, mais je pense qu'il faut garder un oeil critique et ne pas se laisser aveugler par les promesses. Comme disait mon grand-père, "mieuxvautunpetitchezsoiqu'ungrandchezlesautres"... ou quelque chose comme ça. ;-) Et surveiller de près si l'adoption de la technologie prend de l'ampleur.
C'est une question pertinente. Surveiller le marché, c'est la base. Par contre, se fixer des seuils de déclenchement sans tenir compte du contexte macroéconomique, c'est risqué.
Les taux qui redeviennent "normaux", c'est une bonne chose, ça c'est clair. Mais est-ce que ça compense l'inflation galopante et la stagnation des salaires ? Pas sûr. D'ailleurs les stats le montrent : les banques sont plus agressives sur les taux (en dessous de 2,5% pour les bons dossiers, dites-donc !), mais en même temps, elles sont plus regardantes sur les garanties. Logique.
Le PTZ élargi, c'est un pansement sur une jambe de bois. Ça aide quelques primo-accédants, mais ça ne relance pas le marché en profondeur. Faut pas se leurrer. Et puis, faut voir les conditions d'éligibilité, c'est jamais aussi simple que ce qu'ils veulent bien nous dire.
Pour le neuf, les frais de notaire réduits et le PTZ, c'est un argument, mais faut pas oublier le prix au mètre carré, souvent plus élevé que dans l'ancien. Et puis, faut aimer vivre dans un lotissement standardisé... Chacun son truc.
Donc, acheter maintenant ou attendre ? Ça dépend de votre profil, comme ils disent. Mais surtout, ça dépend de votre capacité à anticiper l'évolution du marché. Et là, personne n'a de boule de cristal. Moi, perso, j'attends de voir comment la situation géopolitique va évoluer. Ça peut avoir un impact majeur sur l'économie, et donc sur l'immobilier. Sans compter les élections, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Faut rester prudent, et surtout, ne pas céder à la panique si les prix baissent. C'est peut-être justement le moment d'investir, mais pas à n'importe quel prix, et surtout pas sans avoir fait ses devoirs.
L'histoire de la TVA, c'est un peu celle du serpent qui se mord la queue. On croit la contourner, mais elle est partout, sournoise. C'est vrai que sur les produits de première nécessité, comme le disait CrimsonWave48, on fait moins attention, mais c'est là que ça pique le plus, surtout pour les budgets serrés.
Je pense qu'il faut aussi regarder du côté des entreprises. Comment elles gèrent la TVA ? Est-ce qu'elles la répercutent intégralement sur le consommateur, ou est-ce qu'elles absorbent une partie pour rester compétitives ? C'est une question cruciale, et ça dépend beaucoup du secteur d'activité, de la marge qu'elles se font, de la concurrence... Les petites entreprises, par exemple, ont souvent moins de marge de manœuvre que les grands groupes.
Et puis, il y a la question de la transparence. Est-ce que les consommateurs sont vraiment conscients de ce qu'ils paient en TVA ? Est-ce que les prix affichés sont toujours clairs et compréhensibles ? J'ai parfois l'impression qu'on nous noie sous des pourcentages et des acronymes, et qu'on finit par ne plus savoir où va notre argent.
En parlant de transparence, je suis tombée sur un lien vers un calculateur de TVA. C'est assez parlant, ça permet de voir concrètement l'impact de la TVA sur le prix final. Bon, après, ça ne change pas le fait qu'on doive la payer, mais au moins on est un peu plus conscients de ce qu'on fait.
Au-delà des astuces pour les soldes, ne faudrait-il pas aussi militer pour une TVA plus juste et plus transparente ? Une TVA qui ne pénalise pas les plus modestes, et qui soit utilisée à bon escient pour financer les services publics ? C'est une question politique, bien sûr, mais c'est aussi une question de justice sociale. On pourrait imaginer des taux différenciés, ou des exemptions pour certains produits de première nécessité... Enfin, c'est un vaste débat, mais il me semble essentiel de le poser.
C'est pas bête, Barbe-Noire, comme combine ! 👍 Ça permet de remettre les choses en perspective et de voir la part qui revient vraiment au vendeur.
En allant plus loin, on pourrait presque dire que c'est une forme de "déconsommation" : en visualisant le prix hors taxe, on se recentre sur la valeur intrinsèque du produit, et on est moins influencé par l'aspect fiscal. 🤔 Une manière de reprendre le contrôle, en quelque sorte. 🤓